jeudi 11 septembre 2008

Des petites vacances, mais que de monde....


Hugo pendant les vacances d'été avec ses parents a rencontré une foule familiale, autant maternelle que paternelle. Nous n'avons pas pu voir tout le monde. La France est grande quand on doit la parcourir en 15 jours.
Hugo a rencontré son grand oncle Michel, tout chose lorsqu' Hugo à la nième demande lui dit "Michel", "Bruno" est un prénom n'étant vraisemblablement pas à son goût, Hugo a préféré nommer son cousin 'tonton". Là encore, c'est dans la répétition qu'il réussit parfois à dire "Bruno", Grande-tatie Elisabeth étant une fille, elle a tout juste eu droit à un bisous. Patience, pour l'instant ce sont les hommes ses modèles, mais ce sont vers les femmes qu'il retournera ses regards enjôleurs. N'oublions pas Cédric,Sandrine et Delphine. Je ne sais si Hugo a été admiratif du travail de Cédric et Sandrine, mais nous oui, chapeau pour la maison.
Après Bordeaux, notre virée s'est poursuivie à Biscarosse, lieu d'habitation de ma tante Claude et de tonton Gilles avec leurs 6 enfants. Tous n'étaient pas présents, mais cela faisait du monde pour de si grandes mirettes. Bien sûr nous n'avons pas pu résister à l'appel de la mer, les vagues sont tentantes et l'eau à point pour des sauts interminables. Hugo préfère l'eau du lac de Biscarosse, les vagues l'impressionnent encore.
La fin de notre voyage fût pour les grands-parents de Toulouse, ravis de voir enfin leur petit-fils. Des jouets, des câlins, pour tout les 2. La rencontre avec son tonton TOM. Il n'y a pas à dire, Hugo est un être social qui s'adapte à toutes les situations.
Bien sûr que le tableau est toujours rose lorsqu'on parle d'Hugo, Mais disons-le, Hugo, pendant ces douces heureuses vacances, a décidé d'affirmer son autorité, de faire valoir son caractère, d'exprimer comment cela fait d'être très en colère quand papa et mamant ne font pas ce qu'il veut. Donc, premières punitions, simples me direz-vous, va t'isoler dans ta chambre pour t'apaiser un peu. Eh bien, imaginez que ce simple geste nous a culpabilisé, nous a meurtri, mais nous avons tenu bon.
Nous retrouvons, depuis que nous sommes rentrés, notre fils souriant, joueur, débrouillard. Il s'essaye à sauter dès qu'il voit une marche, il veut faire du vélo à 2 roues avant même d'avoir essayer le vélo à 3 roues. Il dort comme un loir et câline comme un Hugo arbre à bisous.
Voilà tout, à Bientôt.