samedi 29 novembre 2008

Bientôt peut-être!!!

Bientôt propriétaires les parents d'Hugo...
Et oui, nous sommes littéralement tombés sous le charme d'un joli T4 à Bron, banlieue de Lyon. Nous l'avouons, nous n'avons pas mis longtemps à nous décider. Il possède un maximum d'atout dans ce que nous cherchions, mais on n'a bien sûr pas oublier ses inconvénients.
Commençons par les inconvénients:
4° étage sans ascenseur, mais mon aspect toujours battante me fait dire que nous maintiendrons notre ligne pendant un certain temps. Et vu que je suis désormais trop enceinte pour pouvoir supporter tous les tracas des cartons à porter pendant le déménagement, me voilà donc avec un souci de moins.
La salle de bain est petite, tant pis le salon est très grand je me ferais donc des beautés plutôt dans le séjour.
Un notaire obligatoire pour signer l'acte de vente. 12390€ c'est ce que ce cher notable prend a peu près pour valider notre achat de 177000€. Tout calcul fait nous cherchons 189390€ et bien sûr nous n'avons pas d'apport. Le prix de l'immobilier baisse, pas les taux d'intérêt, ni l'escroquerie à la reconnaissance de vente. Au total, vous emprunter toujours la même somme pas des années trop importante, mais vu que nous sommes au boulot pour longtemps je ne me fais pas de souci, je ne rembourserais pas mon prêt pendant ma retraite, c'est juste que j'ai peur de ne pas voir mon salaire progresser de beaucoup.
Les avantages:
Bron possède à elle toute seule de multiples avantages, à proximité de Lyon pour ne pas dire accolée, le tram est à 2 pas de chez nous, la population y est de toutes les cultures et la mairie plutôt penchant associatif te qui porte intérêt à ces citoyens.
L'appart est de 80,5 m2 avec balcon conséquent, pas de vis à vis et une vue superbe sur les monts du lyonnais, je crois. Nous n'avons rien à refaire pas même la peinture parce que tout y est blanc, les anciens proprio préféraient l'épuré, ça tombe bien nous aussi. Nous n'avons pas non plus à nous soucier d'avoir une cuisine aménagée, elle y est déjà. pas entièrement à notre goût, mais facilement ré aménageable dans un temps lointain où la crise ne sera que souvenir risible, Sarko un président de passage.
Bref, nous avons juste à laisser nos vieilleries à la cave, parce qu'elle est comprise dedans pour n'avoir dans notre habitat que des éléments accordés en harmonie entre eux. Le tout bien au chaud dans un chauffage au gaz, des charges qui ne sont pas extraordinaires, étant donné de ce que l'on connaît.
Bon bien sûr tout n'est pas signé maintenant nous devons nous armer de courage, ténacité, fieleries, marchandage pour démarcher auprès de celle qui sera mieux nous "accompagner", nous "soutenir", de celle qui nous escroquera à minima pour acheter ce bien, la banque.

lundi 10 novembre 2008

De plus en plus débrouillard

Et surtout de plus en plus bavard. Hugo adore parler, nommer ce qu'il voit et ce qu'il entend. Bientôt il nommera toutes les différentes motos qu'il entend passer. Il ne confond d'ailleurs pas motos et mobs. Puis il vous parle ensuite, de cette magnifique voiture rouge (pas toujours rouge) qui est cassée et puis réparée etc... D'avoir joué les apprentis mécanos avec son papa lui a donné l'envie de réitérer l'expérience et bien sûr qu'il sait ce qu'est un tourne-vis; c'est ce qui permet de voir dedans ce qui est cassé... Après être passé par je détruis tout ce que mes parents construisent, Hugo maintenant construit et casse et reconstruit jusqu'à plus soif.

Les galipettes, les tournis dans les bras des grands, c'est toujours un plaisir, on rajoute le "je saute sur le dos de maman pour faire le cheval et je me jette parterre comme un indien apache aguerri". Évidemment est développé le saut de l'ange à partir du montant du lit des parents.

Mais point d'inquiétude c'est aussi un enfant calme qui peut regarder longtemps dans ses livres et surtout dans ceux de ses parents s'il n'y aurait pas une voiture rouge cachée. Il aime encore nous câliner au petit matin et le soir la petite histoire est de rigueur.
Mais toujours pas d'inquiétude, Hugo a su affirmer son caractère de petit homme qui dit "moi", qui attribue chaque chose à une personne. Allez savoir quoi est à qui. D'abord pas rigolotes les crise d'adolescent précoce et impubère et puis en lâchant là et discutant ici, imposant par là, le ryrthme de croisière s'est retrouvé. Entre négociation et affirmation de l'une ou l'autre des parties, n'en sommes pas tous là dans notre rapport à l'autre?